Comment la grossesse affecte-t-elle la sexualité d’un couple ?

Elsa Dubroca
,
Sexothérapeute
,
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24/5/2024
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10 min
Sexo
Peut-on continuer d’avoir des relations sexuelles pendant la grossesse ? Jusqu’à quel moment ?

On ne le répètera jamais assez, l’activité sexuelle apporte de nombreux bienfaits en termes de santé, grâce au cocktail d’hormones qui sont libérées à cette occasion. Il s’agit de l’endorphine, de la sérotonine, de la dopamine et de l'ocytocine qui provoquent dans leur association une grande détente corporelle et mentale. L’activité sexuelle a donc un réel effet anti-stress. En fait, les hormones sont des molécules messagères produites suite à une stimulation psychique ou physique. Elles déclenchent donc des émotions positives suite au plaisir physique et à la complicité ressentis.

C’est pourquoi, il n’y a aucune raison de se priver de ces bienfaits au cours d’une grossesse non pathologique.

Il existe deux situations médicales dans lesquelles la sexualité est déconseillée :

  • en cas de placenta praevia (l’implantation du placenta se fait sur ou à proximité de l’orifice interne du col de l’utérus) ou de placenta bas ; car il y a un risque de décollement du placenta et d’hémorragie si on pratique la pénétration vaginale. Le placenta praevia et placenta bas sont diagnostiqués par la gynécologue ou la sage femme au moment de l’écographie. Cependant, il est intéressant de rappeler qu’il n’y a pas que la pénétration vaginale dans la sexualité et que d’autres pratiques peuvent être mises en place sans mettre le bébé en péril. N’hésitez pas à mettre l’accent sur les caresses !
  • s’il y a un risque d’accouchement prématuré**, car dans ce cas précis, on souhaite éviter le plus possible les contractions utérines provoquées par le rapport, la production d’ocytocine, les saignements et tout ce qui pourrait participer à la fragilisation du col utérin**

Est ce que faire l’amour peut déclencher des fausses couches ? Un accouchement ?

Non, faire l’amour ne déclenche pas de fausse couche. Bien entendu, la grossesse n’est pas forcément le meilleur moment pour développer une sexualité très acrobatique mais le risque de fausse couche est à écarter. Pour l’instant, il n’existe pas d’étude scientifique prouvant que faire l’amour participerait au déclenchement de l’accouchement. Ce que l’on sait, c’est que durant un rapport sexuel nous sécrétons de l’ocytocine (hormone de l’attachement et de l’amour). On sait aussi que le taux d’ocytocine augmente au fur et à mesure de la grossesse, tout particulièrement durant les dernières semaines : c’est cette hormone qui déclenche les contractions et son taux le plus haut vient au moment de l’accouchement afin de contrebalancer la douleur. C’est aussi l’ocytocine qui est utilisée en intraveineuse pour déclencher un accouchement.Cependant, il est important de garder à l’esprit que le taux d’ocytocine sécrété durant un rapport sexuel est infiniment plus bas que le taux nécessaire pour provoquer un accouchement. L’orgasme va provoquer des contractions utérines mais elles ne sont pas du tout dangereuses.

Faire l’amour reste un moyen très efficace de se détendre et de déclencher la production d’ocytocine.

Peut-on continuer à utiliser des sextoys ?

Oui !

Cependant, il faut savoir qu’il vaut mieux ne pas utiliser de sextoys vibrants. En effet, les vibrations peuvent fragiliser le col de l’utérus et provoquer des saignements.

Le désir d’une femme enceinte change-t-il ?
(augmentation et baisse – retour à la normale après ?)

  • Entre les bouleversements hormonaux, les changements corporels, l’énergie, la fatigue, l’augmentation du volume sanguin dans le corps, les bouleversements psychologiques… Il serait difficile de dire que le désir de la personne enceinte ne va pas fluctuer au cours de la grossesse.
  • Comme mentionné plus haut, l’ocytocine (qui est l’hormone de l’amour et de l’attachement) augmente au fur et à mesure de la grossesse. Cette hausse hormonale peut aller de pair avec une augmentation de la libido.Le volume sanguin, lui, augmente dans l’intégralité du corps, y compris dans le vagin et dans le clitoris. Cela peut provoquer davantage d’excitation sexuelle ou, à contrario, de l’inconfort (notamment lors de frottements). Dans ce cas, n’hésitez pas à utiliser des sous-vêtements en coton pour limiter la gêne et un baume apaisant (type Baûbo) le plus naturel possible. Si vous ressentez des douleurs vulvaires ou des dyspareunies (douleurs au niveau du bas ventre ou du vagin), consultez un professionnel de santé.

Les symptômes dûs aux bouleversements hormonaux lors du premier trimestre

Le premier trimestre peut parfois s’avérer compliqué. Les premiers symptômes de la grossesse peuvent être franchement désagréables et avoir un impact sur le désir et la sexualité (nausées, seins sensibles et douloureux, essoufflements dûs au besoin d’oxygéner davantage le fœtus…).

Les symptômes dûs aux bouleversements hormonaux lors du deuxième trimestre

Le deuxième trimestre est souvent plus agréable, les femmes parlent de “lune de miel” car les désagréments du premier trimestre s’atténuent, voire disparaissent et les futurs parents sont plus apaisés car les risques de perdre le bébé sont bien moins importants. Le volume sanguin continue d’augmenter et les veines se dilatent. Si des varices apparaissent, n’hésitez pas à en parler à votre sage femme ou à votre médecin : des bas de contention peuvent vous être prescrits (cela aidera aussi si vous avez le sentiment que vos jambes sont plus lourdes).Le centre de gravité bascule vers l’avant et la colonne vertébrale s’adapte. Si vous avez des douleurs lombaires, tournez-vous vers un ostéopathe ou un kinésithérapeute.

Les symptômes dûs aux bouleversements hormonaux lors du troisième trimestre

Au troisième trimestre, le temps peut commencer à paraître long. On peut se sentir fatiguée et le corps devient difficile à déplacer : en effet, il se mobilise tout entier pour se préparer à l’accouchement. On dort en général moins bien, moins longtemps et on peine à trouver une position confortable. La production de lait commence à se faire et on peut donc avoir des écoulements.

Certaines personnes voient des vergetures apparaître sur leur corps (en particulier au niveau des seins et du ventre). L’hydratation est votre alliée principale pour lutter contre les vergetures ! L’huile d’amande douce et l’huile Weleda sont les plus recommandées pour leurs vertues hydratantes. Massez votre corps aussi régulièrement que possible. L’idéal est de commencer ce travail le plus en amont possible : au plus tôt les vergetures sont traitées, meilleures sont vos chances d’en venir à bout.

Il est possible de ressentir de l’inconfort dans sa sexualité lorsqu’on est enceinte (dyspareunies, sécheresses vaginales, douleurs). Parlez-en avec le corps médical qui vous entoure et au besoin n’hésitez pas à consulter un sexologue ou un sexothérapeute.

La fin de la grossesse

Après l’accouchement, les symptômes de la grossesse s’estomperont peu à peu. Laissez-vous du temps. Peut-être que certaines sensations seront différentes de celles que vous connaissiez auparavant, c’est une occasion d’explorer et de redécouvrir votre corps. Si vous souhaitez des exemples d’exercices permettant de découvrir son corps et d’explorer ses sensations, vous pouvez consulter notre article dédié.

Je ressens tout de manière très différente par rapport à avant, je ne comprends pas pourquoi ?

Tous les bouleversements que vous traversez ont un impact sur votre corps et votre esprit. Vos sensations, émotions et ressentis s’en trouvent forcément un peu modifiés.

Au cours de votre grossesse, vous allez rencontrer cinq hormones principales :

  • l’hormone BETA HCG : qui augmente progressivement au cours du premier trimestre (C’est elle qui est recherchée au moment de la première prise de sang pour confirmer ou infirmer une grossesse). Cette hormone est nécessaire à la fécondation. Passé la dixième semaine de grossesse, elle n’est plus nécessaire car l’embryon est bien accroché. Son niveau baisse donc à ce moment-là. C’est aussi l’hormone qui est responsable des nausées matinales.
  • la progestérone : permet à l’embryon de s’implanter dans l’utérus. Elle peut être produite par le placenta pour détendre l’utérus et l’aider à s’agrandir. La progestérone participe donc à calmer les contractions naturelles.- l’oestrogène : c’est une hormone de croissance, elle permet aux seins de grossir pour les préparer à l’allaitement ; aux cheveux de pousser ; à la peau de gagner en élasticité pour accueillir l’enfant.
  • l’ocytocine : est l’hormone de l’amour et de l’attachement. C’est elle qui aide les futurs parents à entrer dans l’amour et le lien parental. C’est aussi elle qui déclenche les contractions et l’accouchement tout en envoyant des messages de bien-être afin d’aider la personne enceinte à mieux supporter la douleur.
  • la prolactine : c’est l’hormone qui permet de créer la production de lait. L’inconvénient majeur de cette hormone est qu’elle est responsable de la sécheresse vaginale et donc aussi d’inconfort au moment des rapports sexuels.

En dépit du fait que ces hormones existent pour accompagner au mieux l’arrivée de l’enfant, elles comportent toutes leurs avantages et inconvénients : fatigue, sautes d’humeur, fringales, nausées, rétention d’eau, jambes lourdes, constipation, problèmes de peau… Ne restez pas seule face à ces désagréments, parlez-en à votre médecin. La grossesse peut plonger dans un état de vulnérabilité mais gardez en tête qu’il n’y a aucune raison que vous restiez dans une situation inconfortable pour vous, les professionnels de santé peuvent vous aider à mettre en place des solutions.

Certaines positions sexuelles sont-elles plus confortables que d’autres pendant la grossesse ? Y a-t-il des choses à éviter ?

Il est recommandé d’éviter les positions qui écrasent le ventre de la personne enceinte (par exemple le missionnaire, la levrette…).

En revanche, les positions telles que l’Andromaque, la cuillère, ou la cavalière inversée peuvent être de bonnes alternatives.

Privilégiez toujours votre confort.

Vous pouvez utiliser un coussin, un lubrifiant bio et naturel ou de l’huile d’amande douce si vous en ressentez le besoin.

Le sexe anal n’est pas recommandé pendant la grossesse car les hémorroïdes internes et externes sont fréquentes et les risques infectieux et inflammatoires dangereux pour le bébé ne sont pas négligeables.

En effet, certains germes se développent dans les intestins ainsi que dans l’anus et n’ont leur place nulle part ailleurs que dans ces deux zones. Si vous souhaitez pratiquer la sodomie pendant votre grossesse, il est préférable d’utiliser un préservatif dédié à afin de limiter la propagation de ces germes dans d’autres parties du corps (il ne faut surtout pas passer d’une pénétration anale à une pénétration vaginale sans laver l’objet pénétrant ou sans changer de préservatif).

Que faire en cas de saignements ? De mycoses répétitives ?

Consultez un professionnel de santé : médecin, gynécologue ou sage-femme.

Il faut savoir que la grossesse peut plonger dans un état d’immunodépression, donc les réactions immunitaires de votre organisme sont moins puissantes. C’est pour cette raison que votre flore vaginale est plus sensible et que son PH peut connaître des variations, entraînant des vaginoses et des mycoses.

Les consultations mensuelles au long de votre grossesse ont aussi pour objectif de veiller à votre confort vaginal.

Anne-Lise Hamy, sage-femme chez Gynea, nous rapporte que beaucoup de personnes enceintes sont inquiètes de prendre des traitements pendant leur grossesse. Sachez qu’il existe une multitude de traitements compatibles avec la grossesse et que vous ne devez pas rester seule face à votre inconfort.

J’ai de nouveaux fantasmes, de nouvelles envies… est-ce normal ?

Oui, c'est tout à fait normal.

Vous traversez une période de vie remplie de bouleversements et de nouveautés. En ce sens, il est tout à fait logique que vos envies évoluent. La grossesse n’est pas du tout un frein à la fantasmatique ou aux nouveaux essais. C’est un sujet qui vous appartient, soyez actrice de vos fantames. Et si vous souhaitez travailler votre fantasmatique, les lectures érotiques sont là pour vous aider à laisser libre cours à votre imagination. Si vous préférez stimuler votre ouïe, l’option des podcasts peut être intéressante pour vous.

Cependant, gardez en tête que la grossesse n’est pas forcément le moment de réaliser tous les fantasmes inassouvis. Certaines pratiques sont difficilement compatibles avec le fait d’être enceinte. Gardez certaines idées pour après la naissance.

Que ressent le fœtus pendant que nous faisons l’amour ?

Anne-Lise Hamy, sage-femme chez Gynea, constate que beaucoup de couples sont inquiets concernant leur sexualité durant la grossesse. D’une part, ils ont la crainte de blesser le bébé en pratiquant la pénétration. D’autre part, il peut y avoir une peur de mettre en péril la grossesse en ayant des rapports sexuels.

Première chose à savoir : lors des pénétrations vaginales, il est impossible que le bébé soit touché par l’objet pénétrant (pénis, sextoy…).

En effet, au moment de l’excitation et durant un rapport sexuel, le vagin s’allonge et se dilate ce qui laisse davantage de place à l’objet pénétrant et l’éloigne du col de l’utérus. Qui plus est, ce dernier reste fermé jusqu’à l’accouchement. Le bébé est donc protégé.

Cependant, il faut bien veiller à limiter le plus possible les pratiques sexuelles pouvant générer des infections. Si vous souhaitez en savoir davantage sur le sujet, vous pouvez lire la partie de cet article intitulée “Certaines positions sexuelles sont-elles plus confortables que d’autres pendant la grossesse ? Y a-t-il des choses à éviter ?

En ce qui concerne les ressentis du bébé lorsque ses parents font l’amour, il reçoit tous les bienfaits de l’ocytocine et baigne donc dans toutes les hormones de bien-être. Il est très rare que le bébé bouge à ce moment-là.

Le désir sexuel du partenaire peut-il changer ?

Pour le partenaire, la grossesse est également un bouleversement important. Il peut y avoir une peur du fœtus (qui peut être considéré comme un intru venant bouleverser l’intimité du couple), une insécurité face aux changements physiques de la personne enceinte…

Le co-parent peut aussi avoir le sentiment d’être relégué au rôle de spectateur, et certaines personnes peuvent mal vivre ce rôle et voir leur désir affecté par cette situation. Il est important de donner une place à l’autre : cela peut être, par exemple, une place d’accompagnant (en prenant les rendez-vous médicaux…).

Une forme d’éducation sexuelle peut être faite : si certaines zones étaient érogènes avant la grossesse et ne le sont plus aujourd’hui, il est important d’en parler et d’expliquer pourquoi.

Comment éviter que l’autre se sente rejeté ?

Communiquez le plus possible ! La grossesse est un moment tout particulier pour les deux partenaires. Il y a beaucoup d’inconnu et de nouveauté. Il peut y avoir des craintes et du stress… Si verbaliser n’est pas votre spécialité, vous pouvez utiliser d’autres biais que la parole. L’écriture peut être une bonne alternative.

Complexée par rapport à mon corps de femme enceinte, j’ai du mal à me montrer nue, que faire ?

La prise de poids

La plupart des personnes enceintes sont confrontées aux angoisses de la prise de poids. Vous traversez une phase de modifications corporelles importantes et il est difficile de trouver le juste milieu entre “se faire plaisir à soi, mais aussi au bébé” et “manger sain et avoir une activité physique régulière”. D’autant plus qu’avec la grossesse, vos carences peuvent être différentes de celles que vous aviez (ou n’aviez pas) auparavant, vos goûts ont peut-être évolué… Bref, il est devenu délicat de trouver de l’harmonie dans tout cela.

Si vous le souhaitez, vous pouvez faire appel à un diététicien. Ce professionnel vous aidera à trouver la juste balance adaptée à vos besoins et vos envies.

L’activité physique adaptée

Par ailleurs, vous avez la possibilité de faire une activité physique adaptée.

Anna, patiente au cabinet, nous rapporte : “On entend sans cesse qu’il est important de continuer à faire du sport mais entre l’essoufflement au moindre effort, mes jambes qui pèsent deux tonnes chacune, et le fait que je ne vois plus mes pieds… j’aimerais bien qu’on m’explique concrètement ce que je suis censée faire.”

En fait, la raison pour laquelle il est recommandé de continuer un minimum d’avoir une pratique sportive, c’est parce que la mobilité participe fortement à l’état de bien-être. Lorsque l’on est dans une phase de modification corporelle importante, il est important de se rendre compte qu’on peut se mobiliser de manière agréable et non pas que par la contrainte. C**’est la raison pour laquelle on parle bien d’activité physique adaptée et non pas de sport tout court. Le marathon attendra encore quelques mois !**

Le compte Instagram @le_labo_osteo_sexo recommande la pratique de la pole dance pour femmes enceintes.

Cet exercice présente l’avantage d’être très ajustable, permettant ainsi à chaque personne de se l’approprier. Les objectifs selon elle ? “Continuer d’apprendre à connaître son corps, ses émotions, s’assouplir, se sentir mieux dans son corps.”

Bien entendu, la pratique de la pole dance reste un exemple, il y a un océan de possibilités devant vous, à vous de trouver l’activité qui vous correspond.

Les photos de grossesse

Les photos de grossesse peuvent aussi être un bon exercice afin de reprendre confiance en soi. Les photographes spécialisés sont experts dans l’art de mettre en valeur le corps de la personne enceinte, ainsi que ses courbes. Parfois, se voir à travers le regard de quelqu’un d’autre, et notamment à travers un regard artistique,  peut être très bénéfique pour restaurer l’image de soi ; tout particulièrement lorsque l’on se sent objet de soins médicaux à la suite de toutes les visites médicales. Il s’agit ici de reprendre sa place de sujet désirant et d’objet de désir.

C’est également une bonne manière de figer ce souvenir, d’avoir des photos à partager avec l’enfant plus tard. Tout en prenant un moment pour soi, pour son couple : de retrouver certaines sensations corporelles en choisissant des tenues, ou en faisant un nu.

Judith, patiente du cabinet, confie : “Je n'ai jamais été à l'aise dans mon corps. J'ai toujours été complexée par mon ventre peu tonique. Enceinte, j'ai découvert la puissance de ce corps et je l'ai aimé. Mon compagnon était réticent à l'idée de faire une séance photo mais cela nous a rapprochés. On a demandé quelque chose à notre image, sans fioriture. J'étais à peine maquillée, et ça me ressemblait. Je le referai sans hésiter lors de ma prochaine grossesse..."

J’ai hyper confiance en moi, je me sens hyper désirable

Les personnes enceintes reflètent souvent une féminité très forte ! Profitez-en au maximum ! N’hésitez pas à organiser une séance photo afin de vous remémorer ce moment pour toujours.

Sources :

https://daylilyparis.com/fr/conseils-femme-enceinte/article/effets-hormones-grossesse.html

Pauline Schillaci : infirmière et sexologue clinicienne

https://cancer.ca/fr/cancer-information/what-is-cancer/endocrine-system-and-hormones#:~:text=Les hormones sont fabriquées dans,hormones est appelée pancréas endocrine.

Elsa Dubroca
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Sexothérapeute

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